Maxime Hurel, la 4ème génération.
Benjamin de la famille, Maxime Hurel est entré dans l’entreprise paternelle par effet de bifurcation. Un classique dynastique. Études de management hôtelier en Angleterre, diplômes en poche et passionné par les métiers de l’hôtellerie où l’excellence fait loi, le jeune homme travaillera deux ans pour le groupe Hyatt, visant l’Asie depuis Paris. De loin, Philippe Hurel veille et surveille. Habilement, il implique graduellement son fils dans le fonctionnement de la fabrique. Les ateliers, le showroom, la création, le commercial : l’apprentissage se fait patiemment comme on polit un bois bien en veine. Sur le terrain, les deux caractères se complètent. À l’exubérance parfois insaisissable et contagieuse d’un père-patron omniprésent, Maxime Hurel répond par sa pondération, sa mesure, sa capacité de synthèse. En mettant ainsi un pied dans la porte, Maxime Hurel découvre tout ce pour quoi son père a tant lutté, ce qu’il a bâti, créé et tenu à bout de bras pendant tant d’années. Avec le succès que l’on sait. Au respect dû à son père, il éprouve désormais un autre respect dû à l’homme, au chef d’entreprise, au créateur. Et partage enfin avec lui une vision de ce que cela doit aux talents et au travail des artisans d’exception. À l’image de Philippe Hurel qui sut repositionner l’héritage familial en en cassant les codes, Maxime Hurel sait parfaitement qu’il doit à son tour dépasser cet héritage.